jeudi 27 septembre 2007

Ecosse - Nouvelle Zélande (le Haka des Blacks)

Enorme Haka All Blacks Contre Ecosse envoyé par 14-Api

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jeudi 13 septembre 2007

CLASSEMENTS DES JOUEURS

MEILLEUR MARQUEUR D'ESSAISMEILLEUR REALISATEUR
Habana (AFS)Montgomery (AFS)

MEILLEUR MARQUEUR D'ESSAIS:
NOMS DES JOUEURS Essais
1erHabana (AFS)4
2èmeElsom (AUS), Howlett (NZL)3
4ème Montgomery (AFS), Borges (ARG), Barnes, Latham, Mitchell (AUS), R. Lamont (ÉCO), Qera (FIJ), S. Williams (GAL), Thompson (JAP), Collins, McCaw, Sivivatu (NZL)2
16èmeFourie, Pietersen (AFS), Barkley, Rees, Robinson (ANG), Albacete, Aramburu, Corleto (ARG), Ashley-Cooper, Flannery, Freier, Sharpe, G. Smith (AUS), Cudmore, Culpan, Mo. Williams (CAN), K. Brown, Dewey, Ford, Parks, S. Lawson, Southwell (ÉCO), Leawere, Rabeni (FIJ), Charvis, A.-W. Jones, Parker (GAL), Easterby, O’Driscoll, Trimble (IRL), Mi. Bergamasco, Dellapè, Stanojevic (ITA), Soma (JAP), Nieuwenhuis, Van Zyl (NAM), Jack, Muliaina (NZL), Carvalho (POR), Manta, Tincu (ROU), G. Williams (SAM), Maka, Vaka, Vaki (TON), MacDonald, Moeakiola, Stanfill (USA) 1

MEILLEUR RÉALISATEUR :
NOMS DES JOUEURS Points
1erMontgomery (AFS)29
2ème F. Contepomi (ARG) 23
3ème Habana (AFS), Mortlock (AUS) 20
5ème Barkley (ANG) 18
6ème Carter (NZL) 17
7ème Onishi (FIJ) 16
8ème Elsom (AUS), Parks (ECO), Little (FIJ), Howlett (NZL) 15
12ème Skrela (FRA) 12
13ème Pez (ITA) 11
14ème Borges (ARG), Barnes, Latham, Mitchell (AUS), R. Lamont (ECO), Qera (FIJ), S. Williams (GAL), Thompson (JAP), Collins, McCaw, Sivivatu (NZL), Hola (TON), Hercus (USA) 10
27ème Hook (GAL) 9
28ème S. Jones (GAL), Dimofte (ROU) 8
30ème O’Gara (IRL), Wessels (NAM) 7
32ème Giteau (AUS), Paterson (ÉCO) 6
34ème Fourie, Pietersen (AFS), Rees, Robinson (ANG), Aramburu, Albacete, Corleto (ARG), Ashley-Cooper, Flannery, Freier, Sharpe, G. Smith (AUS), Cudmore, Culpan, Mo. Williams (CAN), K. Brown, Dewey, Ford, S. Lawson, Southwell (ECO), Leawere, Rabeni (FIJ), Charvis, A.W. Jones, Parker (GAL), Easterby, O’Driscoll, Trimble (IRL), Mi. Bergamasco, Bortolussi, Dellape, Stanojevic (ITA), Soma (JAP), Nieuwenhuis, Van Zyl (NAM), Jack, Muliaina (NZL), Carvalho (POR), Manta, Tincu (ROU), G. Williams (SAM), Maka, Vaka, Vaki (TON), MacDonald, Moeakiola, Stanfill (USA) 5

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L'équipe de Namibie qui affrontera la France

TOULOUSE, 13 Décembre – Le sélectionneur Hakkies Husselman a annoncé ce jeudi l’équipe qui jouera contre la France dans la Poule D de la Coupe du monde de l’IRB ce dimanche au Stadium de Toulouse.

Equipe de Namibie : 1 Kees Lensing (c), 2 Hugo Horn, 3 Jane du Toit - 4 Wacca Kazombiaze, 5 Nico Esterhuize - 6 Jacques Burger, 7 Michael MacKenzie, 8 Jacques Nieuwenhuis - 9 Jurie van Tonder (m), 10 Emile Wessels (o) - 11 Heini Bock, 12 Piet van Zyl, 13 Bratley Langenhoven, 14 Ryan Witbooi - 15 Tertius Losper

Remplacements: 16 Johannes Meyer, 17 Johnny Redelinghuys, 18 Herman Lindvelt, 19 Tinus du Plessis, 20 Eugene Jantjies, 21 Lu-Wayne Botes, 22 Melrick Africa

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mercredi 12 septembre 2007

Le XV de France face à la Namibie

Jo Maso et Bernard Laporte ont annoncé ce matin la composition du XV de France qui affrontera la Namibie ce dimanche au Stadium de Toulouse.

Une équipe fortement remaniée par rapport au 1er match, et à forte coloration toulousaine, avec pas moins de 8 joueurs du Stade sur la pelouse.

J-B Elissalde est désigné capitaine, en l'absence d'Ibanez et de Pelous, qui seront sur le banc des remplacants.

Titulaires : Jean-Baptiste Poux (Stade Toulousain), Dimitri Szarzewski (Stade Français CASG), Pieter de Villiers (Stade Français CASG), Sébastien Chabal (Sale, Angleterre), Lionel Nallet (Castres), Yannick Nyanga (Stade Toulousain), Thierry Dusautoir (Stade Toulousain), Julien Bonnaire (Bourgoin), (m) Jean-Baptiste Elissalde (Stade Toulousain, cap), (o) Frédéric Michalak (Stade Toulousain), Cédric Heymans (Stade Toulousain), Damien Traille (Biarritz), David Marty (USAP), Vincent Clerc (Stade Toulousain) et Clément Poitrenaud (Stade Toulousain).

Les remplaçants: Raphaël Ibanez (Wasps, Angleterre), Nicolas Mas (USAP), Fabien Pelous (Stade Toulousain), Imanol Harinordoquy (Biarritz), Lionel Beauxis (Stade Français CASG), Yannick Jauzion (Stade Toulousain) et Aurélien Rougerie (Clermont).

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mardi 11 septembre 2007

Histoire de la Coupe du Monde - 1995

Retour sur la 3ème coupe du monde, organisée en 1995 en Afrique du Sud:

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Histoire de la Coupe du Monde - 1991

Retour sur la 2ème coupe du monde :

Histoire de la Coupe du Monde - 1987

Petit retour sur la 1ère coupe du Monde

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lundi 10 septembre 2007

Le "French Flair" - Essais du bout du Monde !

Pour se donner un peu de baume au coeur, revenons sur les deux essais qualifiés d'Essais du bout du Monde !

Le 1er essai est celui de 1994, une merveille, qui permet à la France de revenir en vainqueur de sa tournée en Nouvelle-Zélande !

Le 2nd essai est celui inscrit par l'équipe de France en 1987 à la toute fin de sa demi-finale de la 1ere coupe du monde qui l'opposait à l'Australie, sur ses terres. Cet essai lui permit d'atteindre la finale contre les All Blacks :

Mais le French Flair c'est aussi ça ! Un essai splendide, venue d'une relance de Serge Blanco de son en-but ! en 1991, à Twickenham, contre les anglais

ALLEZ LES BLEUS !!! La coupe du monde n'est pas finie !

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COMMENT CA MARCHE ? - LES POINTS BONUS

Certains néophytes pourraient s'interroger en regardant les différents classements des différentes poules !

En effet, l'Afrique du sud, l'Australie, la Nouvelle-Zélande ... se retrouvent avec 5 points au compteur. L'Argentine ou l'Angleterre, elles, n'en n'ont que 4.
Pourtant, un point commun existe entre ces équipes : elles ont toutes gagné leur première rencontre.

De même, la France en ayant perdu son 1er match se retrouve avec point, alors que toutes les autres équipes ayant perdu leur 1er match se retrouve avec un zéro pointé au classement.

Alors, comment l'expliquer ?

La règle du bonus nous vient directement de l'hémisphère sud et s'applique désormais à la plupart des championnats nationaux et internationaux.
Elle a été créée afin d'encourager le jeu offensif, et de s'assurer qu'une équipe largement menée ne "lâchera" pas le match et continuera quoi qu'il arrive de jouer jusqu'au coup de sifflet final, mais aussi pour décourager une équipe à user (abuser ?) des coups de pieds de pénalités.

A la fin d'un match, les points sont accordés de la manière suivante :
  • 4 points pour l'équipe gagnante
  • 2 points en cas de match nul
  • 0 points pour l'équipe perdante
  • 1 point de bonus est attribué à une équipe inscrivant 4 essais au moins
  • 1 point de bonus est attribué à une équipe perdant de 7 points maximum.

Ainsi une équipe peut perdre un match et glaner jusqu'à deux points de bonus si elle parvient à inscrire 4 essais et à ne perdre que par un écart de 7 points maximum (la valeur d'un essai transformé).

Ce système fut créé en 1995 en Nouvelle-Zélande, pour le championnat des Provinces (le "NPC"), et fut dans la foulée adopté pour l'inauguration du célèbre "Super 12" en 1996 (compétition réunissant les 12 meilleurs Provinces de NZ, Australie et Afr. du sud). Il fut utilisé pour la 1ère fois en coupe du monde à partir de l'édition 2003 qui eu lieu en Australie.

Il est désormais utilisé dans toutes les grandes compétitions nationales et internationales, à l'exception du Tournoi des 6 Nations.

Ce système a pour autant un effet quelque peu pervers, en ce sens où il peut permettre à une équipe de terminer à égalité, ou même devant, une équipe qui a pourtant gagné plus de matchs. Ainsi, l'édition 2002 du Tournoi des Six Nations aurait pu voir l'Angleterre terminer devant la France si ce système avait été mis en place, alors même que l'équipe de France a remporté le Grand Chelem. Impensable !

De plus, cela peut influencer grandement les décisions de certaines équipes. Ainsi, et ce n'est qu'un exemple parmi d'autres, en 2005, Biarritz a dominé Toulouse dans le choc de la 22e journée du Top 16 (20-18). En fin de rencontre, le Stade Toulousain avait la possibilité de tenter la victoire. Mais Guy Novès, l'entraineur toulousain, a préféré assurer la défaite de moins de 7 points, synonyme d'un point de bonus. Le point défensif, accordé à l'équipe qui perd de moins de 7 points, peut s'avérer tout simplement contre productif. Plusieurs rencontres se sont terminées avec des scores fleuves qui ne signifiaient rien, et qui ressemblaient plus à des scores de basket que de rugby. Le deal était le suivant : "tu me laisses marquer 4 essais, je te laisse perdre de moins de 7 points". Lors du sommet de la 22e journée entre le Biarritz Olympique et le Stade Toulousain, la dérive est allée plus loin encore. A trois minutes de la fin de la rencontre, Biarritz mène de 5 points. Toulouse obtient une pénalité. En toute logique, l'occasion est belle de taper en touche près de la ligne d'embut pour tenter un ultime essai. Mais l'entraîneur Guy Novès choisit une autre option : taper la pénalité et assurer une défaite de moins de 7 points. "Il reste encore trois minutes, si jamais les Biarrots marquent une pénalité, on perd de 8 points", se justifie-t-il au micro de Canal +. Une saison est longue, et la décision de l'entraîneur peut se justifier. Mais, le système a montré ses failles

C'est notamment pour ces différentes raisons que la Ligue Nationale de Rugby, qui organise en France les deux championnats Pros (TOP 14 et PRO D2), a décidé de quelque peu modifier le système des points Bonus qui s'appliquera à compter de la saison 2007-08 à venir.

Selon le nouveau règlement, pour marquer un point de bonus offensif, une équipe devra désormais inscrire trois essais de plus que son adversaire au cours d'un match (exemples: 3 essais à 0 ou 4 essais à 1). Cette modification fait que deux équipes ne pourront marquer un point de bonus offensif au cours d'un même match. Ce changement vise à éviter que des équipes, rapidement assurées de décrocher un point de bonus offensif, se relâchent et permettent à leur adversaire d'inscrire quatre essais. Depuis l'instauration du système du bonus, au début de la saison 2004-2005, un point de bonus offensif était octroyé à toute équipe ayant inscrit quatre essais, sans tenir compte du nombre d'essais marqués par l'adversaire.

En revanche, le point de bonus défensif, octroyé à toute équipe battue par une écart inférieur ou égal à sept points, a été conservé.

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Coupe du monde - Classements

POULE A :
ClassementPtsJGNPpppcB
1. AFR. DU SUD511005971
2. ANGLETERRE4110028100
3. TONGA00000000
4. USA0100110280
5. SAMOA010017590

POULE B :
ClassementPtsJGNPpppcB
1. NZ5110076141
2. ECOSSE5110056101
3. ROUMANIE00000000
4. PORTUGAL0100110560
5. ITALIE0100114760

POULE C :
ClassementPtsJGNPpppcB
1. AUSTRALIE511009131
2. GALLES5110042171
3. FIDJI00000000
4. CANADA0100117420
5. JAPON010013910

POULE D :
ClassementPtsJGNPpppcB
1. IRLANDE5110032171
2. ARGENTINE4110017120
3. FRANCE1100112171
4. GEORGIE00000000
5. NAMIBIE0100117320

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Coupe du monde - 1ers résultats

Retour sur les 1ers résultats de cette coupe du monde :

POULE A :

  • Angleterre - USA : 28 - 10
  • Afr. du sud - Samoa : 59 - 7 (Af. du sud : pt de bonus offensif)

POULE B :

  • Australie - Japon : 91 - 3 (Australie : pt de bonus offensif)
  • Canada - Galles : 17 - 42 (Galles : pt de bonus offensif)

Poule C :

  • Italie - NZ : 14 - 76 (NZ : pt de bonus offensif)
  • Ecosse - Portugal : 56 - 10 (Ecosse : pt de bonus offensif)

POULE D :

  • France - Argentine : 12 - 17 (France : pt de bonus défensif)
  • Irlande - Namibie : 32 - 17 (Irlande : pt de bonus offensif)

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vendredi 7 septembre 2007

Article du monde - chronique d'Alan Duff

"Que les amateurs de football aillent jouer à leur jeu stupide"

LE MONDE 07.09.07 12h27

Serge Blanco est un véritable dieu du rugby en Nouvelle-Zélande. L'année passée, j'ai eu le plaisir de dîner à Paris avec lui et d'autres anciens joueurs. Serge est un héros délicieux, drôle et modeste. "Serge, vous êtes le meilleur arrière de tous les temps", lui ai-je déclaré. Nous autres Kiwis, nous n'hésitons pas à nous traîner par terre en présence d'un grand joueur de rugby. Il se contenta de hausser les épaules en me remerciant.

Mon ami français Christian Robert, un éditeur résidant à Tahiti, m'invita un jour au lancement d'un ouvrage célébrant un siècle d'affrontement rugbystique entre la France et la Nouvelle-Zélande. J'y rencontrai de grands noms du ballon ovale tels que Philippe Sella, Jean-Pierre Rives ou Serge Blanco. L'ancien deuxième-ligne droit australien John Eales, autre membre éminent de ma dream-team imaginaire, fit une brève apparition, et sept autres anciens capitaines des All Blacks étaient présents. Tous étaient liés par le plus grand des sports, le rugby.

Il est agréable de voir ici à la télévision l'accueil qui est réservé aux All Blacks. Merci, la France, nous t'aimons aussi.

Le journaliste du Monde avec qui je suis en contact m'apprend qu'il y a un match de football entre la France et l'Italie. Football? Ai-je correctement orthographié ce mot, vu qu'il y a des années qu'il n'est pas venu sous ma plume? Football? Ici, le football est un non-événement. Ce sport n'est pas assez viril pour nous. Nous ne supportons pas le spectacle de ces joueurs qui se roulent sur la pelouse en piaillant comme de gros bébés. Nous détestons ces numéros hollywoodiens où un type se tord de "douleur" après avoir roulé plusieurs fois au sol sous prétexte qu'il a été bousculé, ou soi-disant bousculé. La moitié des joueurs ont l'air de névrosés, et quelques-uns se comportent comme des mioches gâtés et surpayés.

Voir tous ces mâles se précipiter dans les bras les uns des autres en s'embrassant nous paraît tout à fait indigne. Hurler, gesticuler et discuter avec un arbitre est quelque chose qui ne se fait pas dans le rugby. Quant au match nul, à quoi cela rime-t-il? Cela dit, je reconnais que c'est un jeu très exigeant et que les grands footballeurs sont tout aussi impressionnants que les meilleurs joueurs de rugby.

Pour les vrais hommes Mais je n'écris pas cette chronique pour les amateurs de football. Qu'ils aillent jouer à leur jeu stupide. J'écris pour les amoureux du plus magnifique des sports. Pour les vrais hommes – et les vraies femmes, bien entendu. Bien entendu.

Samedi dernier, nous avons eu ici un superbe match provincial, avec pour enjeu le célèbre trophée Ranfurly, entre Canterbury et Waikato. Chaque équipe comprenait plusieurs All Blacks qui n'avaient pas le niveau pour participer à la Coupe du monde. Canterbury a donné une prestation spectaculaire tandis que Waikato, ce soir-là, aurait pu battre sans problème l'Angleterre ou le Pays de Galles.

Ce match nous a montré que si ces garçons ne sont pas assez bons pour la Coupe, alors aucun pays ne sera assez bon pour battre nos puissants Blacks. Et si nous devions perdre, alors que ce soit contre la France. Bien que, comme je ne cesserai de vous le rappeler, la défaite ne soit pas une option pour nous. (Traduit de l'anglais par Gilles Berton)

Alan Duff

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Le Stade de France (St-Denis)

Le Stade de France (St-Denis) :
  • France - Argentine (7 sept.)
  • Angleterre - Afr. du sud (14 sept.)
  • France - Irlande (21 sept.)
  • 1/4 de finale (7 oct.)
  • 1/2 de finale (13 oct.)
  • 1/2 de finale (14 oct.)
  • Finale (20 oct.)


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Millenium Stadium (Cardiff, Pays de Galles)

Millenium Stadium (Cardiff) :
  • Galles - Australie (15 sept.)
  • Fidji - Canada (16 sept.)
  • Galles - Japon (20 sept.)
  • 1/4 de finale (6 oct.)


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Murrayfield Stadium (Edinburgh, Ecosse)

Murrayfield Stadium (Edinburgh, Ecosse) :
  • Ecosse - Roumanie (18 sept.)
  • Ecosse - Nouvelle-Zélande (23 sept.)

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Le Parc des Princes (Paris)

Le Parc des Princes (Paris) :
  • Afrique du sud - Samoa (9 sept, 16h)
  • Italie - Portugal (19 sept.)
  • Angleterre - Tonga (28 sept.)
  • Irlande - Argentine (30 sept.)


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Le Stadium (Toulouse)

Le Stadium (Toulouse) :
  • Japon - Fidji (12 sept.)
  • France - Namibie (16 sept.)
  • Roumanie - Portugal (25 sept.)
  • Roumanie - NZ(29 sept.)


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Stade Bollaert (Lens)

Stade Bollaert (Lens) :
  • Angleterre - USA (8 sept.)
  • Afr. du sud - Tonga (22 sept.)
  • Géorgie - Namibie (26 sept.)


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Stade Geoffroy-Guichard (Saint-Etienne)

Stade Geoffroy-Guichard (Saint-Etienne) :
  • Ecosse - Portugal (9 sept.)
  • Samoa - USA (26 sept.)
  • Ecosse - Italie (29 sept.)


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Stade de Gerland (Lyon)

Stade de Gerland (Lyon) :

  • Australie - Japon (8 sept.)
  • Argentine - Géorgie (11 sept.)
  • NZ - Portugal (15 sept.)


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Stade de la Mosson (Montpellier)

Stade de la Mosson (Montpellier) :
  • Angleterre - Tonga (12 sept.)
  • Samoa - Tonga (16 sept.)
  • Australie - Fidji (23 sept.)
  • Afr. du sud - USA (30 sept.)


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Stade de la Beaujoire (Nantes)

Stade de la Beaujoire (Nantes) :

  • Galles- Canada (9 sept.)
  • Angleterre - Samoa (22 sept.)
  • Galles- Fidji (29 sept.)


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Stade Vélodrome (Marseille)

Stade Vélodrome (Marseille) :
  • NZ - Italie (8 sept.)
  • Italie - Roumanie (12 sept.)
  • Argentine - Namibie (22 sept.)
  • France - Géorgie (30 sept.)
  • 1/4 de finale (6 oct.)
  • 1/4 de finale (7 oct.)


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jeudi 6 septembre 2007

Stade Chaban Delmas (Bordeaux)

Stade Chaban Delmas (Bordeaux) :
  • Irlande - Namibie (9 sept.)
  • Irlande - Géorgie(15 sept.)
  • Canada - Japon (25 sept.)
  • Australie - Canada (29 sept.)

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Article publié dans Le Monde

Un petit article publié dans le Journal Le Monde dimanche dernier.

"Vous entendrez nos cris de haine à 20 000 kilomètres"
LE MONDE 03.09.07 12h08 • Mis à jour le 03.09.07 13h59

Ecoutez, les Français, je vous adore ; vous avez les plus grands vins et la meilleure cuisine du monde, les femmes les plus belles, les plus élégantes et les plus hautaines. Et un style de vie qui fait l'envie du monde entier. J'ai même passé un mois à Villefranche-sur-Mer pour apprendre votre langue. Trois de mes romans ont été traduits en français, et j'apprécie énormément l'admiration que vous portez à la littérature, l'art, l'architecture, et d'une manière générale votre intérêt pour un tas de choses.

Mais dès qu'il s'agit de rugby, je vous déteste. Mon pays entier vous déteste. Et si, comme le pronostiquent la plupart d'entre nous, nous devions assister à une finale France - Nouvelle-Zélande, nous aurons encore plus de raisons de vous détester. Nous voudrons voir tous ces bouffeurs de grenouilles en béret mordre la poussière pendant ce match. Nous nous régalerons de voir votre équipe trembler devant un haka entonné avec une férocité sans précédent.

Vous entendrez nos cris de protestation devant vos coups tordus. Quand nous scanderons "Off ! Off !", c'est que nous réclamerons la tête d'un de vos joueurs. Quand notre dieu et capitaine Richie McCaw vous reprendra le ballon, nous tomberons tous à genoux pour le vénérer. Mais quand votre troisième-ligne aile fera la même chose, nous hurlerons à la triche ! Nous nous arracherons les cheveux devant l'aveuglement de l'arbitre, sûrement stipendié par les Frenchies.

Début août, je me suis levé à l'aube pour regarder le match France-Angleterre, d'une part parce que j'adore le rugby, mais aussi pour voir à quoi devaient s'attendre les All Blacks durant cette Coupe. Lorsque Chabal récupéra le ballon et que cette bête velue évita habilement un placage, échappa à la formidable poigne de Josh Lewsey, bouscula l'arrière et, la crinière noire au vent, se jeta sur la ligne d'essai, l'inquiétude me gagna. C'est ce même animal dont l'épaule rentrée brisa la mâchoire de notre seconde-ligne géant Ali Williams alors que celui-ci courait à sa rencontre pour le plaquer. Nous aimerions bien avoir Chabal avec nous - si... Si nous n'avions pas un type encore plus redoutable en la personne de Jerry "The Enforcer" Collins. Ils se sont déjà rencontrés sur le terrain. Désolé, mais Jerry a enfoncé Sébastien. Et quand je dis enfoncé, il l'a enfoncé.

Si nous affrontons la France pour la finale, votre propension pathologique pour le drop sera huée par quatre millions de Néo-Zélandais. Nous, on marque des essais, mate. On fait bouger le ballon, mate. On joue correctement, mate. "Mate" est un terme que nous autres, Kiwis et Aussies, employons constamment. Il peut désigner aussi bien l'ami que l'ennemi, exprimer de la sympathie ou du mépris, tout dépend du contexte et de la façon de le dire. Un drop dans une finale de Coupe du monde, ce n'est pas une façon de gagner, mate. Le drop de Wilkinson en 2003 a ridiculisé le rugby. Comment peut-on gagner une Coupe du monde comme ça, mate ?

Je suis honoré de pouvoir écrire dans un journal français. Mais vous noterez probablement un changement de ton au fur et à mesure du déroulement de la Coupe. J'oublierai le mois délicieux que j'ai passé sur la Côte d'Azur dans une villa du Cap-Ferrat, les difficiles mais gratifiantes journées d'étude à l'Institut de français de Villefranche, les soirées passées à réviser mes cours avant de sortir boire un verre en regardant flâner les femmes (mais comment se fait-il que pas une ne nous ait retourné nos regards insistants ? Pourtant, je vous jure, c'était juste pour bavarder...). Tout cela sera oublié.

Tous les Néo-Zélandais sans exception seront dans un état frénétique, nerveux, agités et inquiets. Nous serons aveugles à tout, sauf aux maillots noirs exprimant notre haine de l'ennemi. Et si vous parvenez, par quelque basse manoeuvre, à nous obliger à jouer en blanc, je vous promets que vous entendrez nos cris de haine à 20 000 km de distance !

Moi, écrivain, amoureux de Ravel et de Debussy, visiteur assidu du Louvre, fana d'architecture, amateur de bon vin rouge, moi que délectent ces émissions télévisées consacrées aux grandes réalisations d'ingénierie, dont beaucoup sont des inventions et des innovations françaises, je considérerai tout cela comme nul et non avenu lorsque les All Blacks jouent.

Après notre victoire, j'organiserai mon prochain voyage dans mon pays préféré. Peut-être même que je consacrerai quelques semaines supplémentaires à l'étude du français. Un peuple si sympathique, un style de vie tellement unique. Vos vins, votre histoire, vos femmes incomparables... Et, aah, savourer le triomphe des All Blacks sur les Bleus en finale. Mon amour de la France et des Français à nouveau intact...

Alan Duff

Alan Duff est, à 56 ans, l'un des écrivains néo-zélandais dont le nom est le plus connu à l'étranger. Né d'une mère maorie et d'un père d'origine européenne, il puise une partie de son inspiration dans ses origines. Trois de ses romans ont été publiés en français, chez Actes Sud : L'Ame des guerriers (1996), dont un film s'est inspiré sous le même titre ; Nuit de casse (1999) ; Les Ames brisées (2000).

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Le calendrier des rencontres

CALENDRIER POULE A
CALENDRIER POULE B

CALENDRIER POULE C

CALENDRIER POULE D

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lundi 3 septembre 2007

Le XV qui débutera contre les Argentins

LE XV TITULAIRE : Heymans - Rougerie, Traille, Jauzion, Dominici - Skrela (o), Mignoni (m) - Martin, Harinordoquy, Betsen - Thion, Pelous - De Villiers, Ibanez (cap), Milloud REMPLACANTS : Szarzewski, Poux, Chabal, Bonnaire, Dusautoir, Elissalde, Michalak NE SONT PAS DANS LES 22 : Clerc, Marty, Beauxis, Nyanga, Nallet, Bruno, Mas, Poitrenaud

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Petit retour sur la coupe du monde 2003

La Coupe de Monde de rugby à XV 2003, cinquième édition du nom, s'est tenue en Australie du 10 octobre au 22 novembre 2003.
La compétition fut remportée par une équipe d'Angleterre qui a su montrer son efficacité et la force de son pack tout au long de l'épreuve. qui bat l'équipe d'Australie en finale. C'est la première fois qu'une équipe de l'hémisphère Nord remporte le titre.
La compétition devait initialement être co-organisée par l'Australie et la Nouvelle-Zélande, comme pour la 1ère édition de la coupe du monde (1987), mais à la suite de difficultés contractuelles l'organisation fut prise totalement en charge par l'Australie. L'Angleterre a battu l'Australie en finale sur le score de 20 à 17 après prolongations, grace à un drop mémorable à la dernière minute du match de Jonny Wilkinson qui fini, par ailleurs, meilleur réalisateur de la compétition avec 113 points.
Cette équipe a fait preuve d'une grande maîtrise, basant son jeu sur son paquet d'avants et sur son grand buteur. La préparation physique d'une grande qualité, leur maîtrise des base du jeu et de la conquète, leur solidarité sur comme en dehors du terrain sont autant de facteurs qui leur ont permis d'atteindre la plus haute marche du rugby mondial.
La Nouvelle-Zélande, grand favori de l'épreuve, chuta une fois de plus en demis-finales, face aux australiens. Pourtant, on peut signaler que les trois meilleurs marqueurs d'essais furent des All Blacks (Doug Howlett et Mils Muliaina avec 7 essais, Joe Rokocoko avec 6 essais)
La France, quant à elle atteind également les demis, mais chutera contre les futurs détenteurs de la coupe Webb Ellis. Cette équipe auteur d'un bon tournoi a été incapable de rivaliser avec le XV de la Rose. Elle a surtout montré quelques limites, ne sachant pas s'adapter au jeu de l'adversaire et surtout aux conditions climatiques qui reignèrent ce 16 novembre sur la pelouse du Telstra Stadium de Sidney. Essayant de pratiquer un très jeu offensif, les bleus se sont exposés aux contres anglais, très bien organisés en défense. Le ballon glissant aurait du pousser les francais à essayer de fixer les anglais et à mieux utiliser leur jeu au pied.
Sur le plan médiatique et de la ferveur populaire, l'épreuve fut une grande réussite, attirant un nombre record de spectateurs (1.837.547 pour les 48 rencontres disputées). La finale a attiré un nombre record de spectateurs pour une finale de coupe du monde de rugby: 82.957 spectateurs. Cette coupe du monde est aussi une réussite économique, en effet les organisateurs ont réalisé un bénéfice de 150 millions de dollars. Malgré cela, elle ne fut pas exempte de quelques critiques (quelques stades non pleins, calendrier des rencontres pas équitable).
Gageons que la coupe du monde 2007 sera elle aussi une grande réussite populaire. La compétition s'annonce quoi qu'il en soit passionante !

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